LA PERCHE FÉMININE ET SES SPÉCIFICITÉS Colloque LIFA-AEIFA
Rappels biomécaniques
• Énergie cinétique
Ec = ½ x masse x vitesse²
• Énergie potentiel de pesanteur
Epp = masse x gravité x hauteur
• Transfert d’énergie
Epp = Ec – déperditions
donc : mgh = ½ mv² – déperditions
gh= ½ v² – déperditions
La hauteur du saut ne dépend donc que de 2 facteurs : la vitesse et les déperditions.
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MARATHON AU FÉMININ par Amandine Le Cornec
MARATHON AU FÉMININ par Amandine Le Cornec
Mais pourquoi 42,195km ?
C’est une course mythique de 42,195 kilomètres, faisant référence au parcours effectué entre Marathon et Athènes du soldat grec Phidippidès, un messager lors de la bataille de Marathon contre les Perses en 490 avant Jésus Christ. Il courut annoncer la nouvelle de la victoire aux Athéniens, en parcourant d’une traite la distance qui reliait le champ de bataille de Marathon à la ville d’Athènes. Arrivé à bout de souffle, il mourut d’épuisement après avoir délivré son message.
Couru sur 40 km en 1896 au 1er JO, à Athènes, c’est en 1921 que la distance fut définitivement fixée et officialisant celle des JO de 1908 à Londres où, l’épouse d’Edouard VII souhaitant voir le départ des coureurs, celui-ci fut donné sous les fenêtres du château de Windsor. De là jusqu’à la ligne d’arrivée dans le stade de Shepherd’s Bush (rebaptisé White City), face à la loge royale dans le stade olympique, il y avait 26 miles et 385 yards soit 42,195 km, distance adoptée depuis.
Que représente le marathon pour les hommes et les femmes ?
La différence Homme/femme se constate lors des épreuves sportives. Un peu d’histoire…Ce n’est pas nouveau : les hommes ont toujours pu participer au marathon mais les femmes devaient (…)
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Gestion d’une grave blessure par Véronique Mang
Gestion d’une grave blessure par une athlète de haut niveau, Zoom sur une blessure grave et sérieuse : la désinsertion du tendon de l’ischio-jambier par Véronique Mang
Tout d’abord, il convient de différencier la désinsertion du tendon de l’IJ d’une simple lésion musculaire (très fréquente chez le sportif) et bien connue des médecins du sport, des athlètes et des coachs. « En revanche, la rupture haute et complète des tendons IJ, par avulsion tendineuse, au niveau de l’ischion est rare. La gravité de cette lésion est souvent sous estimée… il s’agit d’une violente douleur sous la fesse , (impression de coups de poignard ), suivie d’une faiblesse de la jambe … Il n’y a pas de consensus sur le traitement … une IRM en urgence réalisée , pour la majorité des patients , dans un délai de 3, 4 jours permet de confirmer le diagnostic de rupture … Un diagnostic précoce et un traitement chirurgical de ces ruptures totales permettent de récupérer un état fonctionnel normal … » (1)
Rupture tendon ischio-jambier
Je vais aborder 3 aspects incontournables pour gérer cette épreuve très difficile dans la vie et la carrière sportive d’un athlète. En premier lieu, les aspects médicaux et la synergie entre tout le staff médical, l’athlète et le coach à chaque étape du processus de guérison. En second lieu, la gestion psychologique et mentale qui est à mon sens la clé pour retrouver la pleine santé et revenir à son meilleur niveau. Enfin, j’aborderai la phase la plus délicate, celle de la progressivité lors du retour à l’entraînement et à la compétition, afin d’éviter tout risque de rechute.
Pour avoir été confrontée pour la première fois de ma carrière, à une blessure aussi grave en juillet 2015, le marathon médical a été intense et éprouvant. Après une IRM effectuée 48 h après ma blessure, j’ai été opérée 48h en urgence. Il faut donc faire vite ! Car en cas d’intervention tardive, le risque de séquelles neurologiques de sciatique et un déficit musculaire majeur des IJ peuvent compromettre la santé du sportif à moyen terme … S’en est suivie une période d’immobilisation de 6 à 8 semaines avec une attelle, des béquilles et un traitement d’anticoagulant. A peine sortie de la clinique, j’ai commencé la kinésithérapie sans tarder, tous les jours, et même pendant mes vacances d’été. C’était parti pour une course contre la montre avec comme objectif : les JO de Rio !
CE QUE J’IGNORAIS à ce moment là, c’est que le retour à la compétition suite à ma désinsertion nécessite 2 saisons pleines pour revenir au très haut niveau …………
Galvanisée par mon objectif de participer à mes 3èmes Jeux, je me suis consacrée corps et âme à mes soins et à ma guérison, un job à plein temps ! Fin Août, j’ai repris la marche sans béquilles … J’ai ensuite enchaîné avec 2 séjours au CERS de Capbreton (3 semaines) en septembre et novembre. L’électrothérapie avec le matériel Bluetens m’a permis de lutter contre la fonte musculaire et j’ai pu commencer le renforcement musculaire avec l’électrostimulation. Tout cela, dans le but de stimuler mes fibres musculaires car j’avais énormément perdu du muscle. C’était d’ailleurs assez bizarre de voir ma cuisse diminuer de volume quand je portais l’attelle…. Au CERS, j’avais un programme quotidien avec une visite régulière avec le Dr : marche sur tapis roulant, vélo, électrostimulation et en récup, de la balnéo, bain froid, piscine, jacuzzi, hammam, sauna , des massages et de la pressothérapie. Je travaillais également le haut du corps et mon gainage en préparation physique.
Je trouvais le temps long mais l’objectif était Rio donc j’étais à bloc et le challenge était de taille. Et comme j’aime les défis, je ne pouvais que me surpasser pendant cette épreuve …
Le second séjour au CERS a été beaucoup plus intensif. J’ai commencé le renforcement musculaire en musculation, des tests biodex tout en progressivité, gainage, souplesse, récup balnéo et de l’électrothérapie (bluetens).
Je pouvais compter sur le soutien des autres pensionnaires du CERS (Capsports) tout au long de mon séjour. Le retour terrain a été un moment de renaissance ! Mon premier footing a été un moment de grâce car pendant 4 mois je n’avais pas couru !!! J’ai savouré chaque foulée, chaque déroulé de pied et je voulais que ce moment dure longtemps … Je devais cependant freiner mes ardeurs pour éviter les douleurs … Les courbatures après le footing et les massages ont aussi été des moments très agréables. J’appréciais encore plus les phases de repos car le rythme au CERS était assez effréné et assez éprouvant. J’informais mon Dr, mon chirurgien, mon coach de toutes les étapes franchies au CERS. J’avais mis en place un suivi rigoureux entre tous les membres de mon staff médical.
Le traitement de ma cicatrice post – opératoire a été très long , j’avais toujours des douleurs surtout quand je m’asseyais … Je m’asseyais sur une fesse pour éviter les douleurs … Début Décembre , j’ai signé un contrat de partenariat avec Indiba Activ France , la machine de thérapie cellulaire qui accélère la cicatrisation , réduit et soulage les douleurs , accélère la récupération et régénère les tissus musculaires .Sans tarder , j’ai commencé à traiter ma cicatrice avec mon kinésithérapeute . Avec les programmes (capacitif, résistif, antalgique, cicatrisant et anti inflammatoire) et après 10 séances, les douleurs avaient complètement disparu !
Le sprinteur Jamaicain Yohan Blake, victime d’une désinsertion du tendon de l’IJ le 11 juillet 2014 lors du Grand Prix de Glasgow avait utilisé une machine de Thérapie Cellulaire pour soigner sa grave blessure .Son diagnostic avait été difficile à établir : « Il marche pour le moment avec des béquilles après avoir subi une opération il ya quelques jours, a expliqué Mills. Sa blessure était assez grave et le premier diagnostic n’était pas le bon. Il est ensuite allé en Allemagne et c’est là qu’ils ont constaté la gravité de la blessure. Une intervention était nécessaire. Il va donc être absent pour un long moment » (2). Après 2 saisons loin des pistes, des soins et une reprise progressive, Yohan Blake a fait un retour tonitruant en 9.95 sur 100m le 22 juillet dernier aux Trials jamaïcains, un come back on time pour participer aux JO de Rio (3) On n’avait plus revu Blake sur les pistes aussi en forme depuis ses 19.26 sur 200m au meeting Diamond League de Bruxelles en 2011. Quelle longue et difficile traversée du désert qui a nécessité un mental d’acier pour revenir au très haut niveau !
Abordons à présent les aspects psychologiques. J’ai adopté une technique qui a fait ses preuves, celle de la « Never Give Up attitude ». Je ne compte plus les blessures (lumbago, déchirure ischio, rupture complète du tendon du genou, aponévrosites plantaires, désinsertion du tendon de l’IJ) qui ont jalonné mon olympiade, qui m’ont éloignée des pistes pour un long moment, et fait manquer de nombreuses échéances internationales. Motivation, détermination , ténacité, travail, patience, endurance et persévérance sont des valeurs qui m’ont accompagnée au quotidien pour surmonter ces moments difficiles , de douleur et de souffrance parfois extrêmes .
Le témoignage de l’ex-fleurettiste français Térence Joubert, champion d’Europe par équipes en 2003 et 2006, blessé sévèrement à la cuisse en novembre 2010, montre très bien dans quel état psychologique se trouve le sportif : « j’ai vécu un enfer, surtout au début. Grâce à mon entourage et à la qualité des soins, je me suis accroché pour revenir progressivement » (4)
En 2012, Terence Joubert s’est qualifié pour les JO de Londres.
Le sportif peut également faire appel à un psychologue pour faire le deuil de sa blessure, évacuer ses émotions et frustrations. Car la reconstruction physique passera obligatoirement par une reconstruction psychologique. Ce qui amènera le sportif à dédramatiser, à relativiser et à positiver la situation dans laquelle il se trouve. Comme le dit si bien Yohan Blake « Mentally was the toughest part » (5) Les blessures mettent à l’épreuve la confiance en soi du sportif.
Si le sportif vit sa blessure dans un état d’esprit positif, il sera beaucoup plus fort et il guérira plus vite … Car c’est bien dans la tête que tout se joue. Cette blessure a été un gros coup dur pour moi. Grâce au soutien de mes proches, de mon entraîneur, du médical mais aussi de mes fans sur les réseaux sociaux, j’ai pu reprendre l’entraînement et revenir en compétition.
Enfin, le retour sur le terrain s’est faite de manière progressive. J’ai effectué une partie de ma préparation foncière au CERS, puis j’ai continué avec mon coach sur le pole d’Eaubonne. J’ai énormément renforcé mes 2 IJ en excentrique et en concentrique car j’avais d’énormes déficits en force et en puissance. Je me suis gavée du travail d’extension de hanche avec swissball à toutes mes séances de musculation et ce pendant mes 11 mois de préparation. J’ai rechaussé les pointes début Février 2016. Les courbatures ont mis énormément de temps à se résorber au début. Heureusement, la thérapie cellulaire m’a permise de ne pas perdre trop de temps. De plus, j’ai mis en place un protocole de prévention des blessures en faisant des séances de laser CO2 au Centre de traumatologie du sport avec le Dr Tania Bellot. Retrouver la confiance en mon corps et la gestion de l’appréhension ont été de longues étapes à franchir. Il a fallu faire preuve de patience, rester centrée sur moi, ne pas me comparer aux autres (qui n’ont pas eu ma blessure) et ne surtout pas me laisser distraire par la frénésie chronométrique.
Le staff médical a mis en place un protocole de renforcement musculaire avec 3 tests biodex, dont le dernier en Avril 2016 a révélé que je n’avais plus aucun déficit en excentrique sur mes IJ. Ce test biodex a été un déclic, il a fait sauter les verrous. L’appréhension a totalement disparu et cela m’a donné des ailes pour le stage terminal !
J’ai abordé le retour en compétition avec énormément d’envie. J’ai eu de grosses courbatures à l’issue de la première compétition début Mai. Ensuite, les choses ont été plus difficiles car la réalité m’a rattrapée. J’ai couru en 11.80 sous une météo exécrable lors de la finale des interclubs fin Mai .Quelques jours plus tard, en 11.68 au meeting d’Orvieto en Italie… Mon entraîneur m’avait mis en garde et m’avait prévenu qu’il fallait que je m’attende à un début de saison difficile. Je me suis donc construite une bulle où j’ai complètement lâché prise sur l’environnement compétitif. L’objectif était comme toujours de donner le meilleur de moi-même et de réaliser ma propre performance sans me préoccuper de l’adversité (6)
Mon coach et moi sommes repartis sur 15 jours de travail spécifique et d’endurance de vitesse avec pour objectif les Championnats de France Elite. L’objectif était de courir, de faire de mon mieux, surtout d’aller au bout de ma saison . J’ai donc proposé à mon coach un enchaînement des meetings d’Hérouville (11.55) et de Valence (11.45) . J’ai gagné 1 dixième en 48h. La récupération avec Indiba m’a permis d’enchaîner ces 2 compétitions dans les meilleures conditions possibles. Je suis ainsi passée de la 16 è place à la 5è place du bilan national en 1 mois.
En 2016, lors des championnats de France Elite, j’étais donc trop juste pour réaliser 11.26 pour les championnats d’Europe et encore moins 11.15 pour les JO. J’ai lâché prise sur les minimas et les JO car il est vain de se battre contre des choses que l’on ne maîtrise pas. C’est à ce moment là que j’ai compris qu’il faut 2 saisons pleines et entières pour revenir à mon meilleur niveau.
Défendre mon 4ème titre de Championne de France s’est avéré contextuellement irréalisable car je n’étais pas à 100 % de mon potentiel. Cette blessure a été très handicapante, et il a fallu que je l’accepte pour pouvoir avancer et continuer à progresser chronométriquement, tout au long de ma saison. Le temps est un luxe dans le très haut niveau, la santé également … Les aléas comme la météo et les délais de qualification archi serrés ont été le couperet !
L’épilogue de ma saison a eu lieu aux Championnats de France Elite le 25 juin 2016. J’ai réalisé
11.39 en série, mon meilleur chrono de la saison. Et en finale 11.43 avec une 5è place ……… La dealine, c’est la deadline …. Je n’ai pas réalisé mon rêve olympique mais je suis fière d’être allée au bout, d’avoir tout donné. Cette expérience a été un combat contre moi-même. J’adore la compétition, la confrontation à l’adversité et l’adrénaline. Cet aspect a été une motivation supplémentaire pour me surpasser au quotidien. Je n’ai aucun regret. Tout s’est bien passé, je suis en bonne santé. J’ai couru sans douleur et sans appréhension en compétition. J’ai élevé encore plus mon niveau d’exigence avec un perfectionnisme obsessionnel. La flamme et la passion ont fait le reste. Après les Championnats de France Elite, j’ai poursuivi ma préparation sur un cycle de foncier (séances de côtes, de volume, aérobie) jusqu’à fin Juillet … histoire de ne pas perdre de temps sur les échéances 2017 et de continuer sur ma lancée …
Je termine cette chronique par ces quelques mots de Térence Joubert : « Ma blessure appartient définitivement au passé. Je n’ai plus aucune douleur. Je n’y pense plus, même si on m’en parle encore. Aujourd’hui, je ne tire que du bonus de cette péripétie. Elle m’a appris à relativiser encore plus. Il ya des choses plus importantes dans la vie qu’une blessure à la cuisse. Après ce que j’ai traversé, je sais que si ça ne marche pas, je n’en ferai pas une montagne. Deux mois alité, ça fait changer la vision du monde dans pas mal de domaines » (7)
Véronique Mang
Athlète de haut niveau et
membre de l’équipe de France d’athlétisme.
Pour approfondir :
(1) Dr Nicolas Lefèvre, Chirurgiedusport.com
(2)http://www.lalibre.be/dernieres-depeches/belga/athletisme-saison-deja-terminee-pour-yohanblake-53cee57f3570667a638cb037
(3) http://www.pressreader.com/
(4)http://www.leparisien.fr/melun-77000/terence-joubert-encore-trop-juste-22-06-20111502938.php
(5) http://www.letsrun.com/news/2016/06/rebirth-yohan-blake/
(6) https://isoxansport.com/actualites/jeux-olympiques-rio-2016-veronique-mang
(7) http://www.leparisien.fr/avon-77210/terence-joubert-je-vais-tout-donner-26-01-20121829467.php
https://www.youtube.com/watch?v=Ev58Tma92Sk
http://www.maitrise-orthopedique.com/articles/reparation-chirurgicale-des-ruptures-aiguesproximales-des-tendons-ischio-jambiers-139 http://www.lepoint.fr/sport/escrime-terence-joubert-blesse-serieusement-a-une-cuisse-04-11-20101258602_26.php
Tous mes remerciements au Dr Tania Bellot et son staff de kinés , à mon chirurgien Dr Lefèvre , Dr Jean-Michel Serra , au radiologue Jérôme Renoux , tout le staff médical du CERS de Capbreton , mes 2 kinés Antoine Arnoffi et Jérôme Devillez , mon entraîneur Olivier Marchand , Mr Jacques Piasenta , Dorian Martinez , Térence Joubert , mes partenaires Bluetens , Indiba Activ France , Zamst , BV Sport France , Isoxan Sport , Bodytalk , LI-Ning Europe , mon club le CA Montreuil 93, mes fans et mes proches .
La course hors stade féminine par Eric Lacroix
La course hors stade féminine : d’une pratique clandestine aux foulées féminines par Eric Lacroix – Professeur agrégé d’EPS – Entraîneur fédéral d’athlétisme
« La liberté de la femme dépend, semble t-il, du bon vouloir de l’homme. S’il dit «oui», elle pourra courir ; s’il dit «non», elle courra quand même, mais en cachette. On ne sait pas trop s’il faut en rire ou en pleurer».
Yves Jeannotat, La revanche des proscrites, Spiridon n°17, Août 1974, p.1..
Longtemps les femmes ont été tenus hors ou en marge du monde athlétique et cela est plus particulièrement vrai pour les courses de longue distance. Dans les programmes de compétition, la course de fond pour les femmes n’apparait en effet que très progressivement et, à chaque fois, au terme de controverses acharnées : 1928 pour le 800m, 1967 pour le 1500m, 1974 pour le 3000m, 1984 pour le marathon, 1986 pour le 10000m. Le machisme des instances fédérales est alors tel que « l’appropriation par les femmes des courses d’endurance se fait dans la dimension du scandale, devant l’exhibition de la douleur et de la souffrance, alors que les exercices favorisant la reproduction d’enfants sains étaient acceptés »
(Labridy F., 1989).
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La nutrition du sport – La femme sportive par Amélie FOSSE, diététicienne/nutritionniste du sport
Déficit énergétique
Fer
Magnésium
Triade de la Sportive
Calcium
Vitamine D
Protéines
Gestion de la perte de poids
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