LE SPRINT, une épreuve subtile et avant tout technique par Olivier MARCHAND
• Mise en œuvre de cette philosophie sur une saison par Olivier Marchand
• Mise en commun des points de vue de l’entraîneur et de l’athlète : Véronique MANG et Olivier MARCHAND
Mes missions :
• Responsable de toutes les formations d’entraîneurs en Ile de France : initiale et continue
• Coordonnateur du sprint et des haies en Ile de France
• Entraîneur Sprint Haies sur le pôle espoir d’Eaubonne
Mon groupe en 2013 : 7 athlètes
athlètes sur liste: par ordre de niveau :
1. Véronique MANG : Liste senior 2013 : Vice championne d’Europe du 100m en 2010
2. Yariatou TOURE : Liste France Jeunes : Médaille de Bronze sur 100m haies en 2009 en Serbie
3. Assa Deborah : Diakite : Liste espoir : Finaliste sur 100m cadettes aux championnats de France
Pour adhérer à notre association ou avoir des renseignements, une seule adresse :
AEIFA, 16 rue Vincent Compoint 75018 PARIS
Courriel : aeifa@aeifa.com Internet : www.aeifa.com
Pour en savoir plus, clic: LE-SPRINT-une-épreuve-subtile-et-avant-tout-technique (1)-Copier
- Published in Athlétisme à haut niveau, Piste
Caster Semenya : Avantage ou pas ? Par Jean-Claude Vollmer
Caster Semenya : Avantage ou pas ? Par Jean-Claude Vollmer (Expert lepape-info, entraîneur)
A l’heure où l’IAAF s’est prononcé une nouvelle fois sur la situation des athlètes hyperandrogynes en dévoilant de nouvelles règles d’éligibilité aux compétitions féminines, Lepape info vous propose de verser au dossier une étude factuelle de notre expert Jean Claude Vollmer ( publiée en août 2017 ) sur le site Spé15 sur le cas Caster Semenya . Les chiffres et analyses permettront d’alimenter et ( peut-être ) d’éclairer le débat sur cette coureuse d’Afrique du Sud championne olympique sur 800 m à Rio et double médaillée aux championnats du monde de Londres en 2017.
Les doublés ( 800 m – 1500 m) lors de grands championnats.
A le lecture du tableau suivant, on constate que le doublé de Semenya aux championnats du monde de Londres 2017 n’est pas une première et que de nombreuses coureuses l’ont tenté et terminé avec succès sur le podium des 2 épreuves dans le passé .
Le Profil de performances des meilleures coureuses par décennie depuis 1971
Le tableau suivant, tiré de l’ouvrage collectif « Le 800 mètres . Analyse descriptive et entraînement » ( éditions INSEP ) qui présente les profils des 10 meilleures par décennie montre que Semeyna présente ( pour ses performances de la décennie 2011 =>2017) un profil particulier.
En simplifiant les contenus du tableau on peut classer les coureuses de 800 m en 3 catégories :
Profil 400 m – 800 m : coureuses de 400 m ayant réalisé moins de 50.50
Profil 800 m : coureuses qui ne présentent que des performances sur 800 mètres
Profil 800 -1500 m : coureuses de 1500 mètres ayant réalisé moins de 4’02
Si le profil 400 m – 800 m est plutôt rare avec Minyeva ,Kratochvilova – qui est principalement une coureuse de 400 m (47.99 ) et qui n’a couru qu’une saison (1983) sur 800 m – , Quirot , Miles Clarke, le profil 800 m – 1500 m est le plus courant avec 18 filles dans la zone à 4 :02 au 1500 mètres .
Le reste des 40 profils présentés étant des profils spécifiques 800 m , sans performances sur les distances périphériques ou avec des performances ne leur permettant pas d’atteindre des podiums sur ces distances.
Pour lire la suite: http://www.lepape-info.com/actualite/caster-semenya-avantage-ou-pas/
- Published in Articles publiés, Athlétisme à haut niveau, Piste
Almaz Ayana dépoussière le record du 10000 m par Pierre-Jean Vazel
NOUVEAU RECORD DU MONDE: 29 min17 secondes 45
Le record du monde de l’éthiopienne Almaz Ayana au premier jour de l’athlétisme à Rio a d’autant plus surpris que les 29 min 31 s 78 de la Chinoise Wang Junxia semblaient inaccessibles. Une analyse s’impose.
Aussi impressionnante qu’elle paraisse, la marque de Wang ne reflétait pas le potentiel de son auteure. La jeune femme de 20 ans avait pourtant amélioré le précédent record d’Ingrid Kristiansen de 42 secondes en 1993 à Pékin lors des Jeux Nationaux, et depuis, personne ne s’en était approché à moins de 22 secondes. Néanmoins, l’exploit avait été réalisé au terme d’une course tactique ! Le graphique est éloquent : la courbe de vitesse de la Chinoise (en rouge) marque une nette progression après 7 km. C’est à ce moment qu’elle avait décidé de se débarrasser de son inutile lièvre Zhong Huandi. Wang avait alors couvert les derniers 3000 m en 8 min 17 s 34, soit 5 sec plus vite que le record du monde de la distance d’alors !
Les courbes de vitesse des records du monde du 10000 m féminin
En finale des Jeux de Rio, Almaz Ayana vient de courir cette dernière portion, au train, en 8 min 47 s 47. Même si elle ne paraissait pas particulièrement éprouvée à l’issu de son effort, la nouvelle détentrice du record du 10000 m est peut-être plus proche de ses limites que ne l’était son aînée, qui aurait pu passer sous les 29 min s’il lui en avait été donné l’ordre… Les méthodes de coaching des Chinoises dirigées par Ma Junren, basées sur le harcèlement, le surentraînement et sans doute déjà sur des cures hormonales et d’EPO (Wang, qui reconnait les sévices, a toujours nié avoir été dopée), avaient produit d’éphémères miracles en 1993 et 1997, le temps de quelques records qui s’effacent les uns après les autres. En 2004, Elvan Abeylegesse améliorait celui du 5000 m détenu par Jiang Bo ; c’était quelques années avant que l’Éthiopienne naturalisée Turque ne soit contrôlée positive. Il appartient depuis 2008 à son ancienne compatriote Tirunesh Dibaba. L’an dernier, la sœur cadette de cette dernière, Genzebe, avait remisé le 1500 m de Qu Yunxia aux archives. Cette année, sa préparation a été fortement perturbée par l’arrestation de son entraîneur dans une affaire de détention et d’administration de produits dopants en Espagne, et l’Éthiopie comme le Kenya sont dans le collimateur des agences antidopage.
Ayana n’est pas la seule à s’être surpassée à Rio: les 13 premières de la course y ont battu leurs meilleures marques personnelles. Elles peuvent remercier Alice Nawowuna d’avoir dynamité la course dès le départ, sur des bases totalement inconnues pour elle puisque ses temps de passages au 3000 m en 8 min 52 s 70 et au 5000 m en 14 min 46 s 81 étaient inférieurs à ses références sur ces distances (8 min 53 s 55 et 15 min 16 s 74). Si la Kényane a payé cette allure folle en terminant au pied du podium, personne à part Wang à Pékin n’avait fait mieux que son temps final, 29 min 53 s 51 !
Il faut dire qu’enfin, les conditions étaient réunies pour qu’un 10000 m féminin aboutisse à des chronos rapides. Course rarement organisée en meetings, ses listes mondiales sont principalement constituées de performances réalisées aux Jeux olympiques ou aux Championnats du monde. Les courses tactiques, la chaleur ou bien la pluie battante comme lors du record d’Europe de Paula Radcliffe (30 min 01 s 09 à Munich en 2002) ont toujours plombé les aiguilles du chronomètre.
La Britannique s’est dite impressionnée par la démonstration de l’Éthiopienne, surtout parce qu’elle n’a jamais cru à la probité des prouesses Chinoises. Pourtant, si l’on excepte le record mondial du 100 m de Florence Griffith-Joyner (10 s 49 en 1988), homologué malgré une panne de l’anémomètre, c’est le sien sur marathon (2 h 15 min 25 en 2003) qui est le plus proche de celui de la gent masculine, avec une différence de seulement 9,21 %. Elle devance en outre de 3 minutes la 2ème marathonienne de l’histoire… Sous les 10 %, on retrouve aussi le 3000 m de Wang (8 min 06 s 11, la même semaine que son historique 10000 m) et Marita Koch qui a fêté l’an passé les 30 ans de ses 47 s 60 sur 400 m. Si l’on en croit le graphique, les prochaines barres à tomber pourraient être les 1 min 53 s 28 de Jarmila Kratochvilova si Caster Semenya le veut bien, et les 14 min 11 s 15 au 5000 m, à moins que Genzebe Dibaba et Almaz Ayana ne continuent de préférer chasser la place plutôt que le temps.
Temps intermédiaires par kilomètres des deux derniers records du monde du 10000 m :
Almaz Ayana (Rio, 2016)
1000 m 3:02.0
2000 m 5:56.0
3000 m 8:53.0
4000 m 11:50.0
5000 m 14:47.1
6000 m 17:36.74
7000 m 20:29.98
8000 m 23:25.37
9000 m 26:22.88
10000 m 29:17.45
(Derniers 5000 m : 14:30.4, derniers 3000 m : 8:47.47)
Wang Junxia (Pékin, 1993)
1000 m 2:54.88
2000 m 5:56.72
3000 m 8:59.33
4000 m 12:02.90
5000 m 15:05.90
6000 m 18:10.19
7000 m 21:14.44
8000 m 23:59.88
9000 m 26:44.80
10000 m 29:31.78
(Derniers 5000 m : 14:25.88, derniers 3000m : 8:17.34)
Sources :
Chen Dunshou, Guo Junren : Analyse biomécanique du record du monde du 10000 m de Wang Junxia, Journal de l’Institut d’éducation physique de Xi’an, 03/1996.
Omega : Analyse de la course, Rapport du 10 000 m femmes, finale. Rio 2016.
Articles récents de Pierre-Jean Vazel, en savoir plus sur http://vazel.blog.lemonde.fr/
- Published in Athlétisme à haut niveau, Informations diverses, Piste
Courir plus vite que vite pour continuer à progresser par Hélène Bossé
Les sprinteurs sont souvent confrontés dans leur carrière à une stagnation voire à une régression de leurs performances .L’entraineur doit alors émettre plusieurs hypothèses pour identifier les causes et les mécanismes de cet obstacle.
Une des hypothèses à soulever serait celle de l’installation d’une barrière de vitesse qui agirait comme un frein dans le fonctionnement de la contraction musculaire et qui serait l’explication d’une déficience dans les possibilités d’expression de la vitesse.
Lors d’un colloque sur la préparation physique, Frédéric Aubert évoquait la notion de « stéréotype rythmique » pour signifier l’installation d’une routine neuromusculaire qui entrainerait un blocage de la vitesse.
Pour comprendre il faut se représenter de façon très schématique et simpliste le mécanisme de la contraction musculaire lorsqu’on fait un mouvement. Il faut imaginer le système nerveux comme un réseau électrique constitué de milliards de fibres nerveuses, qu’on appelle les neurones et qui sont reliés entre eux par des synapses.
Quand un stimuli est perçu interne ou externe comme le coup de pistolet du départ, il se transforme alors en un influx nerveux qui se propage sous forme de signaux électriques (les potentiels d’action) jusqu’au système nerveux central (la moelle épinière et l’encéphale).
Ce SNC traite cette information pour la faire «redescendre » ensuite vers les cellules musculaires qui donneront alors l’ordre aux muscles de se contracter ou de se relâcher en fonction de la réponse à apporter à la situation.
La plupart des ces réactions qui construisent le geste sportif sont des réflexes moteurs. On pourrait parler de comportement automatique nécessaire à l’expression d’une vitesse.
Le problème de vitesse se pose quand le circuit électrique emprunté est toujours le même et que s’installe une sorte d’habitude fonctionnelle. Le muscle dés lors n’est plus surpris et s’enferme dans une forme de monotonie. On aurait là une des explications de la barrière de vitesse !
Il faut donc réussir à créer de nouvelles voies de propagation de l’influx nerveux pour améliorer la conduction neuromusculaire. C’est là que le travail de survitesse prend tout son sens. L’entraineur doit créer les conditions souvent artificielles qui vont permettre à l’athlète de courir plus vite que vite.
La 1ère condition est de créer une stimulation au dessus de la valeur seuil mais cependant très proche des possibilités naturelles de l’athlète. On peut proposer pour ça un travail en descente où l’athlète prendra artificiellement de la vitesse pour ensuite l’entretenir sur le plat.
Il faut trouver une descente de 5 à 8 degrés maximum qui se prolonge sur une ligne droite sur laquelle on disposera une dizaine de petites lattes rapprochées. L’athlète devra s’engager de façon importante dans cette descente pour ensuite être contraint de poser un pied entre chaque latte.
La 2ème condition est de se confronter plusieurs fois à cette situation en restant à haut régime. Pour ça l’entraineur peut chronométrer ce parcours latté pour inciter l’athlète à maintenir un travail à haute intensité. On déclenche le chrono à la pose du pied dans le 1er intervalle et on l’arrête à la pose du pied derrière la dernière latte.
La 3ème condition est de donner la priorité à la qualité du travail et non à la quantité. Ainsi il faut donner une récupération complète entre les répétitions (2’ à 3’) et cesser l’exercice quand on observe une baisse de l’intensité. Celle-ci se manifeste par une augmentation du chrono, par une dégradation du geste, par une fatigue nerveuse signifiée telle que « je suis cuit ».
Il est important de comprendre que ce travail très couteux nerveusement mais aussi musculairement peut engendrer des blessures par saturation du muscle si les prérequis n’ont pas été travaillés en amont. En effet il est indispensable de faire un travail préparatoire à base de pliométrie, de gainage, de souplesse pour assumer ces hauts registres de sollicitation. De plus il est important de programmer cette séance sur un fond de fraicheur physique c’est-à-dire après 1 ou 2 jours de repos et plutôt en phase pré-compétitive.
Il est également utile d’associer à ce travail de survitesse, un travail de technique de course qui se fera dans une autre séance. En effet la contrainte matérielle qui nécessite d’exprimer une vitesse « extraordinaire » engendre une dégradation de la qualité du cycle de jambe (hyperfréquence).
La 4ème condition est la nécessité de varier les situations de survitesse pour ne pas risquer une nouvelle stagnation des performances. Il existe donc d’autres exercices qui tendent à provoquer un déséquilibre rattrapé par une accélération du déplacement. Le travail avec charge tractée suivi d’un « largage » en est un bon exemple.
En effet durant le court laps de temps de l’accélération provoqué par le largage, de nouvelles fibres nerveuses sont sollicitées.
Pour ça on peut utiliser une ceinture avec deux poignets. L’un court et l’autre retient le coureur quelques mètres avant de le lâcher par surprise: Attention cependant à la dangerosité potentielle de cet exercice.
On peut aussi utiliser un parachute pour créer la résistance à l’avancement puis ensuite se larguer soi-même
Enfin on ne peut que citer le travail fait par les sprinteurs français et mentionné cet été dans les médias, concernant l’utilisation d’outils innovants pour continuer à progresser.
C’est le cas de Guy Ontanon qui a convaincu l’INSEP de s’équiper d’un matériel allemand aux réglages très précis pour parvenir à mettre ses athlètes en situation de survitesse. Les athlètes sont reliés par un câble à une machine qui offre la possibilité de les faire courir au-dessus de leur vitesse naturelle maximale.
Les mêmes effets sont obtenus avec des ceintures de survitesse. L’exercice se réalise à deux. L’un placé devant (B) et raccordé à un point fixe (C) tracte le sprinteur (A) placé à l’arrière du dispositif.
Grâce à un système de poulie qui fonctionne comme un palan, le sprinteur voit alors sa vitesse augmenter artificiellement et de façon significative.
Conclusion
Le problème de la barrière de vitesse a été ici exploré par le prisme de sa dimension neuro biologique. Il est possible d’envisager d’autres facteurs, notamment ceux d’ordre psychologique et motivationnel. En effet lorsque l’on connait l’importance de la confiance et du mental sur la réussite, on doit aussi explorer cette dimension. Une des astuces est de priver l’athlète de ses points de repères habituels. Par exemple on lui prend des temps sur 55m ou 70m plutôt que sur 60m ou 70m.
En dépit de zones d’incertitude sur les origines de cette barrière de vitesse, la compétence de l’entraineur à faire progresser les sportifs qu’il entraine, relève aussi de sa faculté à interroger ses propres méthodes, et à comprendre que ce qui marche un jour, ne marche pas pour toujours.
Passez la survitesse
Photo: Frédéric Poirier
Hélène Bossé
Entraineur d’athlétisme BEE2
Enseignante agrégée en STAPS à l’Université Paris Est Créteil
Bibliographie :
« la préparation physique », M. Pradet, coll entrainement , édition INSEP
« La préparation physique moderne », A. Broussal, O. Bolliet, coll Counter movement
« Comprendre l’athlétisme », JL Hubiche , M. Pradet , coll entrainement, édition INSEP
Pour adhérer à notre association ou avoir des renseignements, une seule adresse :
AEIFA, 16 rue Vincent Compoint 75018 PARIS
Courriel : aeifa@aeifa.com Internet : www.aeifa.com
- Published in Athlétisme à haut niveau, Piste
L’entraînement du 400 haies en France
L’entraînement du 400 haies en France – Essai de point des connaissances par JJ BEHM
Ça a « commencé » en 1960
-
- Les Champions d’Europe du 4X4 à Berne 1954, selon leurs dires, ne s’entraînaient pas: GOUDEAU, MARTIN DU GARD, HAAROF, DEGATS jouaient au foot, se déplaçaient en vélo, y compris pour aller aux compétitions, et ne se retrouvaient sur une piste que le jeudi, où ils faisaient un 400.
-
- Cela ne les a pas empêchés de courir en moins de 48, sur cendrée bien sûr.
- A part quelques exceptions, on ne peut parler d’entraînement construit qu’après les Jeux de ROME 60.
Pour en savoir plus, clic: L entraînement du 400 haies en France
- Published in Articles par disciplines, Articles publiés, Piste
ANALYSE DES EXIGENCES DE LA PERFORMANCE SPORTIVE SUR 800M COURSE
ANALYSE DES EXIGENCES DE LA PERFORMANCE SPORTIVE SUR 800M COURSE par Amandine Le Cornec
L’analyse des exigences de la performance du 800 s’avère multifactorielle. Afin de perfectionner dans cette discipline, il ne faut pas seulement faire appel au développement des capacités physiques ou physiologiques. Il faut également mettre en interaction les facteurs psychologiques, morphologiques, techniques sans oublier la tactique et l’économie de course.
PROFIL DU 800m
Demi fond court
Maintien d’un effort intense prolongé
Épreuve courue à 120 – 125% VMA
Épreuve courue en dette d’O2
Sollicitation des filières anaérobie lactique (60%) et aérobie (40%)
Essentiellement de la Capacité anaérobie lactique (CAL)
FACTEURS LIES A LA PERFORMANCE SUR 800 M
Facteurs Psychologiques / Résistance à la souffrance / Motivation / Résistance au stress
Pour adhérer à notre association ou avoir des renseignements, une seule adresse :
AEIFA, 16 rue Vincent Compoint 75018 PARIS
Courriel : aeifa@aeifa.com Internet : www.aeifa.com
Pour en savoir plus, clic: ANALYSE DES EXIGENCES DE LA PERFORMANCE SPORTIVE SUR

- Published in Articles par disciplines, Articles publiés, Piste
PLANIFICATION 800m (niveau régional) par Amandine Le Cornec
Cette planification se dirige à des athlètes de niveau régional dans laquelle la périodisation est davantage détaillée.
- Published in Articles par disciplines, Piste
Programmation estivale du 800m (niveau National) par Amandine Le Cornec
- Published in Articles par disciplines, Piste
Les appuis chez le sprinter – COLLOQUE AEIFA/LIFA
Les appuis chez le sprinter
COLLOQUE AEIFA/LIFA
Rôle des appuis dans les courses de vitesse
Analyse et propositions d’entraînement par Dominique DUVIGNEAU, cadre technique 3 degré, entraîneur expert FFA en sprint et haies. Cet ancien Champion de France du 400 m haies a connu 6 sélections en équipe de France dont une participation aux Jeux méditerranées et à la coupe d’Europe face à Harald Schmidt (2e performeur mondial).
Dominique a quitté sa petite ville de Cesson-Sévigné en Bretagne pour venir nous livrer au cours d’un colloque passionnant, organisé par la LIFA le 21 mars 2010, une fine analyse sur le travail du pied du sprinter.
Voici un résumé de ce qu’il nous a dit :
« Avoir du pied » est une expression intéressante, premier maillon d’un juste équilibre entre tonicité et explosivité. Elle suppose pour tout coureur une puissante transmission au sol, capable de convertir un pied dynamique en un pied propulsif. Quand on demandait à Jesse Owens les secrets de son extraordinaire vitesse, il avait coutume de répondre « La piste me brûle ».
Pour en savoir plus, clic:
- Published in Articles par disciplines, Piste
CHOIX DE STRUCTURE RYTHMIQUE DU 400 HAIES par JJ BEHM
CHOIX DE STRUCTURE RYTHMIQUE DU 400 HAIES par JJ BEHM
questions/Réponses/justification
Le choix d’après quoi ?
Jusqu’où va-t-il mener ce nombre minimum ?
Que faire avec les unijambistes ?
Pourquoi les ambidextres mènent-ils leur nombre mini à la 7 et les unijambistes à la 6 ?
Quand change t-on de structure ?
Une jambe de franchissement à-t-elle une importance ?
Que faire avec les cadets ?
Combien fait-on départ-1e ?
Sur le plat final ? La musique doit correspondre à celle jouée de 9 à 10
Photo: Meeting de Rio de Janeiro : Couto sous les 50” au 400 m haies – Copyright : Panoramic
Pour en savoir plus, clic: choix structure power point
- Published in Articles par disciplines, Piste
- 1
- 2